L'association France Alzheimer 29 aura le plaisir d'accueillir Mme Arlette Meyrieux, Présidente Nationale de l'Union Nationale France Alzheimer :
LE SAMEDI 12 AVRIL A DAOULAS (Salle Kernéis) à 15 h OO à l'occasion de l'Assemblée Générale de France Alzheimer 29
L'occasion pour France Alzheimer 29 de parler du nouveau Plan Alzheimer 2008/2012 sur lequel l'Union nationale a beaucoup travaillé avec la commission formée par le gouvernement afin que les malades et les familles soient mieux aider et que les moyens soient données à la Recherche.
Le combat d’Arlette Meyrieux contre la maladie d’Alzheimer
Pour la responsable savoyarde de France Alzheimer devenue présidente nationale de l’association, il y a urgence à mieux accompagner les malades et leur famille.
«
Je suis une femme de terrain, et plutôt d’ombre. Jamais je n’aurais imaginé être un jour distinguée pour mon bénévolat à France Alzheimer ».
Arlette Meyrieux, garde toute sa modestie, mais elle a franchi un pas décisif en juin 2005 en devenant présidente de l’union nationale des associations France Alzheimer.« ce fléau » ily a dix ans en accompagnant sa tante frappée par le mal. Elle parle du parcours du combattant auquel les familles se trouvent inévitablement confrontées Elle a préféré anticiper son départ à la retraite pour s’impliquer totalement dans son engagement associatif.
« Les besoins sont énormes »
En 1998, elle devient présidente de l’association Alzheimer Savoie, puis en2000, rejoint le conseil d’administration de France Alzheimer. Vice-présidente depuis 2003, chargée de la politique de l’accueil de jour et de la formation, elle est élue présidente en juin 2005 A la tête d’une association qui compte une centaine de structures départementales et des milliers de bénévoles, elle travaille au sein de plusieurs instances représentatives comme la commission ministérielle
prospectives Alzheimer
» et la commission de suivi du plan Alzheimer au ministère de la Santé. Mais elle garde sonattachement au terrain et au quotidien.
« Si les médias relaient bien la problématique de la maladie d’Alzheimer, la réalité reste très difficile sur le terrain pour les malades, comme pour les familles »
insiste-t-elle. D’où son appel à tous les interlocuteurs, élus, responsables,médecins, médias, donateurs, et grand public : « il faut développer des accueils dejour, des accueils temporaires, des aides à domicile spécialement formées, des structures d’accueil adaptées, avec du personnel suffisamment nombreux et formé. Les besoins sont énormes et la détresse des familles très grande. Nous devons réussir dans les plus brefs délais. Bien s’occuper des malades d’Alzheimer permet de faire reculer d’autant l’évolution de la maladie »
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